Pascal Vérité

vers un Monde oublié

Laissant notre Monde

Dévasté, brûlé

La Nave nous emporte

Vers ce Monde oublié

Où quelques Anciens

Nous attendent

Mais qu'allons-nous y trouver ?

Et la Nave dans la nuit

Nous emporte dans son vol

Vers une Aventure de Mystères...

Et voici l'instant

Sous un soleil triste

De notre arrivée

Que va-t-il se passer

Mystère ?

Pourtant nous savons notre arrivée

Plus que désirée

Pourquoi?

Vingt années déjá sont passées

Seuls quelques survivants du passé

Sont lá les bras ouverts

Et l'on s'embrasse avec émotion

Et les nuages au bord des paupières

Pourtant la pluie

Ne sera pas aujourd'hui...

L'Aventure va commencer...

Pour celle qui m'accompagne

C'est un monde nouveau

Que j'ai connu, il y a de cela...

Je ne me souviens du Temps

Mais nous allons le redécouvrir

Ensemble, main dans la main

Ce Monde qui était le mien...

Et sous ce ciel presqu'éteint

J'ai senti pourquoi nous étions tant espére´s..

Nous avions le pouvoir de la Magie !

Je me souvenais...

J'étais devenu une Légende

Qui allait réssuciter..!

(septembre de 2003, St Ètienne de Chigny, Touraine France)

< Pascal Vérité, groupe/enfants du ciel/

Ce jour-là, Pascal

Tu avais eu trés mal

Tu étouffas ton amour

Et souffris chaque jour

Tu perdais celle que tu aimais

Tu ne l'oublias jamais...

.

J'étais la cause

De cette cruelle chose...

Je t'en demande pardon

Pourtant c'est la faute á Cupidon...

.

Je ne pouvais vivre sans elle

Ensemble la vie était si belle...

Un jour nous sommes partis

De cela, aussi, tu souffris...

.

Aujourd'hui, je ne sais plus rien de toi

Nous as-tu oublié. Toi ?

Peut-être te demandes-tu

Ce que nous sommes devenus...

.

Vas et n'y pense point

Oublies-nous, car le passé est loin...»

joué-lés-tours, janvier 1968.

Pascal Vérité

(...une nuit, en rêve la voix de Geo, me murmura ce poéme...)

extrait du journal de « Pascal de Normandie »

si l'un disparaît, quelles conséquences pour les autres?

si l'on considére:

a) un corps

b) une âme

c) un masque.

Il est parti si loin, il ne me reste pour souvenir que la photo d'un petit garçon de 4 ans. J'essaie d'imaginer son visage de jeune. ..Va -t-il tenir sa promesse de m'écrire ?..Il ne peut oublier son ami le Clown...?...

Moi j'en ai plusieurs, devenus amis, mais surtout un, par son mystère...mais il aime les clowns !

Il était une fois, il y a très longtemps, dans un pays imaginaire, un homme solitaire..

--Mais il avait une particularité, il avait un très grand coeur avec beaucoup de place pour tous ceux qui manquaient d'amour.

.

--Il plongeait ses mains dans son coeurpour en distribuer l'amour qui naissait là. Partout sur son passage le soleil renaissait,et les gens, surtout les enfants retrouvaient le sourire et la joie illuminait leurs visages. Les adultes aussi s'agenuoillaient sur son passage et embrassaient le sol derrière lui, le remerciant de répandre l'espoir et réssuciter le soleil...

.

--Il continuait son voyage, ne parraissant jamais fatigué, ni avoir faim, ni sommeil. Mais un jour arrivèrent, non pas un,mais plusieurs hommes de la nuit, de méchants sorciers. Commença alors un grand duel, entre le jour et la nuit,,le bien et le mal. Le soleil et la pluie qui détruisait les récoltes...

...( 1 ère partie)

LE CLOWN DU 14 JUILLET

Le bal battait son plein

Dans son costume de marin

Il est arrivé avec un sourire épanoui

D'une ruelle mal éclairée

Un soir de 14 juillet

A chaque pas, hochait la tête

Semblable á une marionnette

Avec son nez rouge et ses grands yeux

Il avait l'air merveilleux

Dans son habit tout blanc et son col bleu

Il marchait en se balaçant, automate

Le Clown du du bal du 14 juillet

Et la foule émerveillée

En triomphe l'a applaud

Lorsqu'il a jaillit de la nuit...

...

Toute la nuit il a dansé

Les farandoles il a mené..

.

A une belle, un coeur de carton, a donné

Dans les bras d'une autre le bal achevé

Ainsi tous deux ensembles ils ont rêvé

«-Autrefois, j'avais une poupée, un clown

A-t-elle confié...

Il a répondu:« Aujourd'hui nous avons grandi!»

Elle lui sourit:« C'est un rêve merveilleux

Oh ! mon Clown aux grans yeux

Par toi je reste émerveillée

Oh ! mon Clown du 14 juillet

Cet instant enchanté, jamais

Je ne l'oublierai, je te le promets...>

SOLEIL D'EXTASE...

Dans un soleil d'extase

Résonne la joie des roses

Tel pur cristal

Tintant dans l'aube

Euphorie énivrante

Les blés tissent leurs tiges

Pour un berceau d'amour

Le Vent coquin

Te dérobe un baiser

Puis trop hardi

Gonfle tes voiles telle une corole

Oh ma nymphe

Plus léger que le Vent

Se poursuit notre ballet

.

Dans un Soleil d'extase

Parmi les roses

Les massifs multicolores

Nos pieds n'affleurent qu'à peine

Le sol de la planète

Car l'amour

Qui gonfle nos coeurs

Nous arrache enfin

Du monde grisaille

Et..

Pour nous seul le pare

De mille merveilles

De mille joyaux dont les feux

Dans le Soleil de notre extase

Irisent tels des arcs-en-ciel

.

Ton parfum sauvage

M'énivre ma douce maîtresse

TOI que les Hommes

Sans cesse bafouent

Te détruisant un peu plus chaque jour...

.

Nos haleines mêlées, hélas

En vain ont supplié

Et seul nous demeure

Le Soleil de notre extase

Baignant nos corps

Par les Hommes souillés...

...

***> AVEUX...>

Je ne puis désormais

Retenir le flot pressant

Des mots qui s'échappent

De ma plume

Pareillement au flot

Des larmes

Qui s'en viennent mourir

Comme pour effacer

Ce qu'elle ne devrait point écrire

Car comment douce Fée

Garder aujourd'hui silence

Sur ces aveux qui s'étouffent

Que le ciel me donne le pouvoir

D'abolir Temps et distances

Afin de vous réchauffer

De mon coeur aimant

D'essuyer vos larmes de solitude

Voilant votre regard

Celá afin d'accrocher

Au ciel de vos yeux

Un sourire d'Éternité

Vous déchirâtes le linceul de ténèbres

Qui enserrait mon coeur dans son tombeau

Pardonnez à la plume du poète

Qu'il abandonne au coeur, de l'homme

Pour crier son amour

Car il aime enfin...!

..

Et le soleil, et le printemps

S'envolent vers vous

Messager rayonnant de cet amour...

..

Oh! Dieu, Maître des destinées

Puisses-tu m'entendre et me garder espoir...?

( à m.m. 18 mai 1981. pascal vérité. France)

**> Pour, contre, il...?**

Pour seul bien

Pour seule fortune

Pour seul bouclier

Pour seule défense

Pour seule arme

Pour seule trêve

..

Contre les chiens

Contre l'amertume

Contre l'usurier

Contre l'offense

Contre les larmes

Contre la crève

...

Il a son chien

Il a sa plume

Il a son encrier

Il a son innocence

Il a son âme

Il a son rêve

J.L.T.,Touraine, 16 février 1982 24h08, Pascal Vérité.

***> SUPIDITÉS >***

Stupide inconscience

Frappant telle foudre sournoise

Couples au coeur des danses

Les coeurs, les esprits embrase

..

Serpent nourri au sein

A l'aube de ta fête

Au feu, ton pain

Inconscient tu jettes

...

Ton propre soleil

Par folle épée détruit

Ton lendemain sans éveil

Décideas cette nuit

...

Les coeurs bafoués

Par ta haine sauvage

Par soleil-amour ont triomphé

De ton cynique orage

...

Pour ton inconsciente folie

La main-amour tendue

Rejette ton gîte á la nuit...

(Touraine, 22 janvier 1984, 01 h 30 )

*RENIÉ!

La douleur en flamme

L'espérance femme

L'âme perfide

Choît au vide

.

Lave au volcan

Dévaste le camp

Cendre au soleil

Vie,éternel-sommeil

.

S'ouvre l'océan

Royaume du Néant

Fournaise du cataclisme

Engloutit les isthmes

.

Passerelles mouvantes

Foudroyées par tourmentes

L'esquif fragile

Dérive au monde sans île

.

Sans havre désormais

Tel Ulysse

Banni à jamais...

<touraine,22 janvier 1983, 02 h 11. pascal vérité.

***>ABSURDITÉ <**

Cr´tinerie des hommes

Ignorants des dogmes

Stupides grenouilleurs

Naïfs barbouilleurs

..

Discours mensongers

Lâches messagers

Peuples en perdition

Sans espoir ni religion

...

Monde d'absurdités

Idiotie des sociétés

Semblable á la bête

Amorphie des prophètes

...

Généraux perfides

Alors tournent brides

Avertissements en dérision

N'écoutant point raison

...

Poètes de l'absurde

Sous le couperet rude

Sombre l'Art des Temps...

(Touraine, 2 Avril 1983, 01 h 52.) Pascal Vérité.

**<COMPLICITÉ >**

Sur cette terre

Seul fidèle sincère

Por ami son chien

Son vrai seul bien

...

Oui toi son compagnon

Minuscule crampon

Mais plein d'affection

Au fil des saisons

...

Vos langages différents

Bravent les Temps

Invisible dans les rangs

Il défie les ans

...

Dans son ballet aérien

Celui qui n'a rien

Fleur parmi les fleurs

Cherche bonheur

...

Partagés entre deux mondes

Dans l'infernale ronde

Fidèles complices...

(Touraine, 22 février 1982 )...Pascal Vérité.

Personne n'a pensé á cette question, souvent je vois dans les réponses á certains poémes «où est la question ? », un poéme a-t-il vraiment besoin d'être une question ? Por moi je pense que ceux qui nous offrent leurs poémes, c'est uniquement dans le désir de les partager et d'avoir votre avis si vous aimez, et ce qu'ils vous font ressentir...En voici un futile, sans vrai question...

FUTILITÉ

Ciel de grisaille

Décor qui ferraille

Nuages en larmes

Por quel drame?

Demain soleil de feu

Peuple insouciant joyeux

Volutes enrubannées

Aux échos de l'Hym´née

L'écharpe vaporeuse

Planant sur la Meuse

Enléve les amants

Dans ce monde ignorant

Lumières sans teint

Du forgeur d'airain

Effaçant le ciel

Et ses arcs-en-ciel

Labeur inutile

Sur ce monde futile

Méprisant de ta sueur...

(joué-lés-tours, 27 février 1982)

Pascal Vérité. ( de Nouvelles visions)

-*«OYEZ LA VOIX...! »

-Oyez le Voix jaillie de Terre

Oyez la Voix dans cet enfer

Publicité trompeuse

Science empoisonneuse

Société polluante

Hmanité d´gradante

Oyez la Voix

D'un poéte qui accusa...

..................................................

Homme qui assassina les Poètes

Tu es plus cruel que la Bête

Je dénonce tes instintcs morbides

Je t'accuse de complots sordides

............

Homme sanguinaire sans âme

Qui juge et condamne

Les bêtes utiles ou bien nuisibles

A ces questions t'es-t-il possible

Qui de l'Insecte destructeur

Qui de l'Homme exterminateur

Lequel est le plus malfaisant

Répond donc maintenant ?

...................................

Lequel doit être jugé

Lequel doit être condamné

--" Prend garde, car au Jugement Dernier

Tes crimes il te faudra payer

Oh ! Homme qui extermina

Ce qu'un Jour

Avec Amour

Dieu créa..!

.........

Souviens-toi, de la Voix

D'un Poète qui t'accusa...! »

Jou´-lés-Tours, Mai 1975. P. V.».

***OBSESSION ***

La Fièvre

Brûlait ma chair

Afin de l'apaiser

Je tendis ma main

Ma main brûlante

Vers ton corps

A la peau fraîche

Et tendre

Mais ma main

Ne rencontra qu'un vide glacé

Ma MAIN..

Surprise, étonnée s'immobilisa

Je m'éveillais alors...

Mon autre main

En cet instant

L'interrupteur chercha

Un éclair jaillit soudain

Et je portai mes mains

A mes yeux..

Enfin je regardai

Cette place

Vide

Près de moi

Vide á jamais

Et comme un enfant

Qui vient de briser

Son jouet préféré

J'éclatais en sanglots

Me jetant

Sur cette place

Vide

Glacée

Désormais inutile

Puisque désertée par toi...

Et de mes bras

Comme enlaçant

Une image impalpable

Comme un fou

J'enserrais

Ton oreiller délaissé

Et mes larmes

Ne semblaient

Ne devoir jamais

Avoir de fin............(fin 1ére partie).

...

LA COUPE D'ÉTERNIÉ

La coupe

Au breuvage d'Èternité

Tremble dans mes mains...

La Neige

Duvet soyeux et glacé

Linceul de mon coeur

Que même vos fantômes

Sans chaleur, abandonnent

Pourtant votre amour, vos coeurs

Tabernacles protecteurs

De la flamme amour

Du sommeil ultime espoir...

.......

Cette fois , c'est fait

A petites gorgées

J'ai bu

Le breuvage éternel

Du grand sommeil Je ne ressens plus déjà

Ni faim, ni froid

Rien qu'un grand glissement

Combien agréable

Il fait chaud, il fait bon

Quelle douceur...quelle ...Paix....!

.....

Vous aussi ,buvez avec moi, donc....

................La Coupe d'Éternité....

Café- Restaurants «LES ROUTIERS » joué-les-tours. (37300)-- 8 février 1983....

Voici ce que je vous propose, je vous offre la cléf, vous l'ouvrez et choisissez , et rapporter le titre qui vous á touché avec vos commentaires, vous ne serez pas déçu, Vous connaîtrez la Vérité ! voici la clef magique:

« http://fr.360.yahoo.com/jackierogermartin »

N'ayez pas peur de la poussière. je l'ai essuyé un peu.

LE CAVALIER DE L'HIVER...

Les grands arbres ne chantent plus

Dans le matin blême, squelettes nus

Et le Cavalier de l'Hiver - á jamais disparu-

Ne sillonnera plus la campagne muette

Lá-bas, tout lá-bas, le silence s'installe

Et quelque part dans une maisonette

Les adolescents devenus hommes

Voyant à nouveau s'enfuir l'automne

Se souviennent des nuits lointaines

Où ignorant la froidure, ronronnant

Sur les routes sombres et glacées

Aux mille pièges,

Bravant les sortilèges

Accourait vers eux le Cavalier de l'Hiver

Tel un messager de Paix et d'Amour

Qui venait pour les border

Et enchanter leurs nuits de merveilleux rêves...

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